On cherche à nous faire taire ! – épisode 3

Dans cet épisode 3, la société Pierre Étoile adresse par l’entremise d’un cabinet d’avocat une mise en demeure à l’association ADCORA de cesser ses activités et de fermer son site internet.

Depuis les premiers constats d’experts de l’état du chantier de la résidence Rooftop Élégance, la société de promotion Pierre Étoile, un des 3 actionnaires du vendeur et Maître d’Ouvrage, la SCCV Antony Jean Zay, mène des actions pour discréditer les révélations de ces constats et incriminer les acquéreurs en les rendant responsables de l’état du chantier et de ses retards.

Impressionner… et faire pression

Le 30 juillet dernier, le président de l’association ADCORA a reçu des Conseils la société de promotion Pierre Étoile, une mise en demeure (voir le document) l’accusant en tant que responsable légal du site (https://adcora-rooftop-antony.fr/) de la publication de plusieurs textes constitutifs de diffamation publique et d’actes de dénigrement, lesquels ne sont pas cités. Outre ces accusations, les Conseils reprochent à l’association ADCORA « l’envoi de courriers électroniques à certains de leurs interlocuteurs privilégiés dont une bonne partie des services de la ville d’ANTONY, dans lesquels ses clients la Société Pierre Étoile et son directeur Général Marc Gédoux co-gérant de la SCCV Antony Jean Zay sont également mis en cause en des termes et dans des conditions tout aussi inacceptables », mais une fois encore sans joindre aucun des courriels incriminés.

Mise au point !

L’association ADCORA ne diffame personne et ne dénigre rien, mais décrit objectivement la situation du chantier des résidences Élégance et Distinction par le biais de constats d’experts judiciaires, d’experts en bâtiment et d’huissiers de justice, situation dans laquelle ses membres – les acquéreurs – attendent toujours la livraison promise pour le 1er trimestre 2024.

Contrairement à ce qui est avancé dans ce courrier, le Maire d’Antony a bien pris en compte les inquiétudes des acquéreurs en leur a répondant le 25 juillet (voir notre article) avant que cette lettre – infondée en tout point – ne soit envoyée.